Le choix est clair : le 6 mai Sarkozy doit être battu : pour cela votez François Hollande !
Sarkozy a mené ces 5 dernières années une sévère politique de régression sociale alors qu'une petite oligarchie composée de patrons, de financiers et de grosses fortunes a été gavée de privilèges fiscaux.
Sarkozy est celui qui avec Mekel a infligé à l'Europe toute entière une sévère cure d'austérité, véritable hold-up social qui a aggravé au final la crise et les déficits.
Après 5 années de lepénisation de l'UMP, le niveau du vote FN (18%) témoigne de l'irresponsabilité de Sarkozy qui a contribué à banaliser la xénophobie et au final cautionner le discours du FN.
Rien ne semble plus arrêter ce petit politicien prêt à tout pour faire oublier son bilan calamiteux : Le Pen est déclarée "compatible avec la République", intox et calomnies insupportables à l'encontre de la gauche, mensonges à l'encontre des immigrés, transformés en bouc-émissaires des échecs de cette droite libérale et xénophobe..
Dans sa furie, Sarkozy fait désormais l'écho d'une rhétorique pétainiste visant à casser les organisations de défense des travailleurs que sont les syndicat en prétendant instaurer une "fête du vrai travail".
Les faits sont tétus, Sarkozy reprend pratiquement mot pour mot ceux de Pétain à l'encontre des syndicats.
Le Front de Gauche appelle à voter Hollande pour battre Sarkozy.
Ceci n'est n'est pas un soutien politique au programme de Hollande mais pour battre :
- celui qui a dit OUI à Merkel et à finance,
- celui qui fait payer les malades, les salariés, les chômeurs et les victimes de la crise...
- celui dont le programme n'est autre que de poursuivre sur la voie de la rigueur, de la régression sociale (TVA sociale, coupes budgétaires sans précédent à venir) et de la diversion xénophobe et populiste dans une alliance objective avec le FN de plus en plus apparente...
Une victoire de Sarkozy serait un coup fatal porté à l'encontre du monde du travail de par la démoralisation qu'elle causerait. C'est une question de la salubrité publique que de battre Sarkozy : le discours de la collaboration n'est pas une option acceptable en république ! En Hongrie, le libéral Orban a montré à quel point il pouvait devenir autoritaire...